DONG HOI Tam Toa, le 11/08/2009 - D’après les nouvelles de ces derniers jours, actuellement la paroisse de Tam Toa du district de Dong Hoi de la province de Quang Binh se trouve dans une situation critique créée par les autorités de la province, qui deviennent infâmes.
N’importe quel paroissien sortant dans la rue peut être pris par la brutalité de la police de sécurité. Cette dernière en prend la photo, et de même que le visage de plusieurs paroissiens est imprimé sur papier, collé au coin des rues, sur des poteaux électriques pour que les non-catholiques le reconnaissent et l’attaquent à l’abri de toute aide de secours possible.
Un «inconnu» s’est introduit dans la maison d’un paroissien. Il cassa les portes, écrasa la TV pendant que la police de sécurité posté à l’extérieur pour protéger l’intrus.
Un nombre de paroissiens commerçants se trouvant au marché sont victimes des « délinquants » ramenés par la police de sécurité, qui jettent des ordures dans leurs marchandises telles que les légumes et autres pour leur couper le moyen de vie.
Il est impossible que d’autres catholiques viennent à leur secours sans être brutalisés. Il arrive que qu’on peut arrêter toute voiture en circulation sur la chaussée, si l’on y trouve un catholique qui est tout de suite frappé brutalement.
N’importe que qui sortant dans la rue, y compris les touristes ayant un appareil de photographie qui sera détruit par n’importe passant de la rue ou pris sans pouvoir résister.
Ceux des catholiques qui ont été arrêtés sont forcés à écrire la déclaration affirmant qu’ils n’ont pas été frappés, brutalisés au cours de l’interrogatoire. De même qu’ils sont mis dans la peur, isolés de tout contact avec qui que ce soit pour que l’interrogateur puisse les forcer à reconnaître les « fautes». Cela n’est pas étranger à n’importe qui ayant connu la méthode de travail de la police de sécurité. Plusieurs personnes, ayant trop bien connu cette méthode de la police de sécurité et convoquées par cette même police, se sont suicidés pour des raisons absolument incompréhensibles.
À l’heure actuelle, les autorités de la province de Quang Binh ont semé dans la tête des citoyens non-catholiques la haine contre les religions, par conséquent ceux-là, pris dans un état de folie sanguinaire, sont tolérés à brutaliser les catholiques. Le radio, la télévision et les journaux du régimes ne cessent d’accuser les catholiques d’avoir fomenté le complot d’effacer les crimes de guerre commis par les Américains et d’autres allégations visant à jeter de l’huile dans l’hystérie ne connaissant que la force
Les catholiques de Tam Toa sont souvent et sans cesse dérangés, invités, convoqués à venir n’importe quand à l’interrogatoire de la police. Cela crée une insécurité psychologique et d’autres jeux d’abominables tortures.
Récemment, les autorités de la province de Quang Binh harcèlent directement les paroisses, menacent leurs prêtres tels que le Révérend père Hong de la paroisse Sen Bang, invitent, convoquent au poste de la police de sécurité dans le but de créer parmi les catholiques un syndrome psychologique de peur et de terrorisme.
La situation des catholiques de Tam Toa est dramatique, que tout le monde prie pour eux.
N’importe quel paroissien sortant dans la rue peut être pris par la brutalité de la police de sécurité. Cette dernière en prend la photo, et de même que le visage de plusieurs paroissiens est imprimé sur papier, collé au coin des rues, sur des poteaux électriques pour que les non-catholiques le reconnaissent et l’attaquent à l’abri de toute aide de secours possible.
Un «inconnu» s’est introduit dans la maison d’un paroissien. Il cassa les portes, écrasa la TV pendant que la police de sécurité posté à l’extérieur pour protéger l’intrus.
Un nombre de paroissiens commerçants se trouvant au marché sont victimes des « délinquants » ramenés par la police de sécurité, qui jettent des ordures dans leurs marchandises telles que les légumes et autres pour leur couper le moyen de vie.
Il est impossible que d’autres catholiques viennent à leur secours sans être brutalisés. Il arrive que qu’on peut arrêter toute voiture en circulation sur la chaussée, si l’on y trouve un catholique qui est tout de suite frappé brutalement.
N’importe que qui sortant dans la rue, y compris les touristes ayant un appareil de photographie qui sera détruit par n’importe passant de la rue ou pris sans pouvoir résister.
Ceux des catholiques qui ont été arrêtés sont forcés à écrire la déclaration affirmant qu’ils n’ont pas été frappés, brutalisés au cours de l’interrogatoire. De même qu’ils sont mis dans la peur, isolés de tout contact avec qui que ce soit pour que l’interrogateur puisse les forcer à reconnaître les « fautes». Cela n’est pas étranger à n’importe qui ayant connu la méthode de travail de la police de sécurité. Plusieurs personnes, ayant trop bien connu cette méthode de la police de sécurité et convoquées par cette même police, se sont suicidés pour des raisons absolument incompréhensibles.
À l’heure actuelle, les autorités de la province de Quang Binh ont semé dans la tête des citoyens non-catholiques la haine contre les religions, par conséquent ceux-là, pris dans un état de folie sanguinaire, sont tolérés à brutaliser les catholiques. Le radio, la télévision et les journaux du régimes ne cessent d’accuser les catholiques d’avoir fomenté le complot d’effacer les crimes de guerre commis par les Américains et d’autres allégations visant à jeter de l’huile dans l’hystérie ne connaissant que la force
Les catholiques de Tam Toa sont souvent et sans cesse dérangés, invités, convoqués à venir n’importe quand à l’interrogatoire de la police. Cela crée une insécurité psychologique et d’autres jeux d’abominables tortures.
Récemment, les autorités de la province de Quang Binh harcèlent directement les paroisses, menacent leurs prêtres tels que le Révérend père Hong de la paroisse Sen Bang, invitent, convoquent au poste de la police de sécurité dans le but de créer parmi les catholiques un syndrome psychologique de peur et de terrorisme.
La situation des catholiques de Tam Toa est dramatique, que tout le monde prie pour eux.